متابعة موثقين نصبوا على مئات الضحايا في مبالغ تقدر بالمليارات

ليس في القنافد أملس

Lettre au président du conseil national des notaires marocains Ahmed ouhami ouazzani Monsieur le président, Je reviens pour vous rappeler, un différend persistant, que vous semblez oublier, puisque il date de 2001, lors de votre regrettable passage dans une ville ou vous ne disposez pas d’étude, pour s’accaparez d’un privilège auquel vous n’aviez pas droit, et filer ensuite laissant derrière vous ; des victimes. Je commence par m’adresse au juriste que vous êtes, pour vous rappeler que la notion d’éthique est le fondement de la pratique de la fonction que vous exercez, elle fait référence à une série de règles et de conduites qui doivent être respectées, tout membre qui s’écarte sciemment de cette voie ; doit être pénalisé ou tout simplement écarter du corps professionnel auquel il appartient. les professionnels qui en totale contravention avec la déontologie, et qui portent préjudices à leurs clients, c’est d’autant plus grave, si l’auteur de ces préjudices est celui qui est porté à la tête de ce corps professionnel, qu’eu égard au statut qui lui confère cette institution ; les clients lui font a priori confiance et n’imaginent pas qu’il ne fera l’objet d’aucune procédure disciplinaire, alors que telle institution devrait être confiée à des hommes d’une véritable intégrité, et à ceux qui se distinguent par leur candeur, leur probité, et l’aptitude à remplir leurs devoirs, et repousser tous ceux qui ne peuvent justifier d’une bonne conduite. sinon comment expliquer qu’on puisse porter à la tête du conseil national des notaires quelqu’un qui ne respecte pas ses obligations, qui s’approprie les biens de ses clients pour un travail qu’il n’a jamais accompli, et ceci impunément compte tenu des protections diverses et inconditionnelles dont il bénéficie, alors que pour être accepter en tant que membre dans telle institution, vous devez au mois en respecter les normes, le règlement intérieur du conseil auquel vous appartenez le stipule clairement , que pour être membre de ce conseil, le candidat ne devrait pas être condamné ou poursuivi dans une affaire qui porte atteinte à l’honneur et à la probité, vous ne répondez pas à cette condition pour être simplement membre, alors vous êtes le président. Même les Adouls que vous dénoncez par ce que vous appelez une atteinte à votre domaine de compétence, n’ont jamais porté atteinte à leur profession comme vous le faites, monsieur le président. Les éléments les plus importants dans un état de droits en sont les lois qui s’imposent à tous, mais il y a une différence fondamentale entre droit proclamé et l’accès réel au droit. Par cette lettre j’ai voulu servir l’intérêt général et éviter à d’autres de subir mon sort, et montrer la capacité que vous avez d’absorber les droits des autres en toute légalité, alors qu’un citoyen ordinaire va en prison pour moins que cela, et c’est là différence entre le bon citoyen respectueux de la loi, et celui qui trouve les moyens de se soustraire à son application.. Vous vous permettez ces illégalités parce que vous vous croyez intouchable à l’abri et bien protégé, je tiens à souligner que je ne compte pas en rester là, mon cas sera porté devant les instances nationales et internationales, et présenter par la même occasion celui à qui incombe le mérite de présider le premier conseil national de l’ordre des notaires marocains, et pour finir, je vous dis que vous n’allez pas vous en tirer comme ça, en tout cas, pas avant de m’avoir rendu ce que je vous dois au denier sou et je voudrai saisir cette occasion pour vous féliciter à l’avance si les notaires décideront de vous reconduire à la tête de leur conseil. A la fin je vous invite à méditer longuement là-dessus, et je vous prie de d’agréer, l’expression de ma considération respectueuse !.